Avec la technologie d’osmose inverse TW Profine
protection contre les bactéries et les virus

Nous sommes appelés à affronter un nouveau défi d’envergure planétaire. La pandémie de Covid-19 nous impose de respecter scrupuleusement les normes d’hygiène pour notre sécurité. L’équipe TW Profine souhaite vous aider à affronter au mieux ce moment. En effet, aujourd’hui plus que jamais, il est important d’informer nos clients et partenaires des capacités de traitement de l’eau même en termes d’élimination des virus.

TW naît autour de la production de systèmes à osmose inverse il y a plus de 20 ans. Dès lors l’entreprise s’est toujours plus concentrée dans l’approfondissement des thèmes de ce traitement spécifique. Ces efforts quotidiens ont permis à l’équipe TW Profine d’atteindre d’importantes reconnaissances internationales et de s’enrichir d’un savoir-faire unique.

L’osmose inverse est reconnue au niveau mondial comme le système de traitement le plus efficace par rapport à la microfiltration, l’ultrafiltration, la nanofiltration et aux traitements par UV ; comme cite dans son étude le centre pour la prévention et le contrôle des maladies (CDC Center for Disease Control and Prevention). L’osmose inverse est, en effet, même définie hyperfiltration pour sa grande efficacité en termes physiques et mécaniques de blocage des substances dans l’eau.

L’osmose inverse est un processus qui utilise une membrane semi-perméable pour la séparation des sels dissouts dans l’eau en entrée. C’est-à-dire que grâce, à ladite membrane, le soluté est retenu en en empêchant ainsi le passage et en obtenant un solvant pur en sortie. Des pré-filtres à microfiltration sont nécessaires pour compléter ce processus d’osmose et garantir le fonctionnement optimal de la membrane.

L’osmose inverse est considérée hyperfiltration, c’est-à-dire le degré maximum de filtration actuellement disponible en commerce. La dimension des orifices d’une membrane à osmose est inférieure à 1 nanomètre (quand la nanofiltration agit entre 1-100 nanomètres). Si l’on compare la valeur de 1 nanomètre aux dimensions de l’agent pathogène SARS-CoV-2 qui s‘élèvent entre 65 et 100 nanomètres (le tableau indique une valeur moyenne approximative de 80 nm) ou d’autres virus autour de 20 nanomètres, ou encore d’une bactérie commune dont les dimensions minimums sont d’200 nanomètres ; il est évident qu’un système d’osmose inverse (en marche et ayant été soumis au bon entretien) arrive à enrayer ces micro-organismes.

En effet, dans ses études de comparaison des différents systèmes de traitement de l’eau, le CDC souligne l’efficacité du processus à osmose dans l’élimination de différents microbes.

En détail:
Les systèmes par osmose inverse ont une efficacité très élevée en termes d’élimination des protozoaires (Cryptosporidium et Giardia, par exemple) ;
Les systèmes par osmose inverse ont une efficacité très élevée en termes d’élimination des bactéries (Campylobacter, Salmonella, Shigella, E. coli par exemple) ;
Les systèmes par osmose inverse ont une efficacité très élevée en termes d’élimination des virus (Enterico, hépatite A, Norovirus, Rotavirus par exemple) ;
Les systèmes par osmose inverse élimineront les polluants chimiques (ions métalliques, sels d’eau) y compris le sodium, le chlorure, le cuivre, le chrome et le plomb ; il peut réduire l’arsenic.

Pour conclure, l’étude du CDC confirme que l’osmose est le seul traitement d’eau à haute efficacité, même par rapport à n’importe quel autre traitement, dans l’élimination des agents pathogènes éventuellement présents dans l’eau.